INFOGRAPHIE 2

barbara

En effet, l’étude fait apparaitre des fondamentaux qui restent extrêmement positifs : dans leur grande majorité, les agents de la fonction
publique aiment leur métier et se sentent utiles au quotidien. Encore qu’on observe un net décrochage dans la fonction publique
hospitalière : 69% disent aimer leur métier vs 81% pour les fonctionnaires nationaux et 83% pour les fonctionnaires territoriaux.
Il faut noter que ce rapport s’inverse lorsqu’on les interroge sur leur sentiment d’utilité : 85% des agents hospitaliers disent avoir le
sentiment d’être utiles au quotidien, contre 77% territoriaux et 73% nationaux.
Quoiqu’il en soit, ces chiffres restent plutôt positifs et disent beaucoup de l’état d’esprit constructif des fonctionnaires.

INFOGRAPHIE ETOILE : « Métiers de la fonction publique et quête de sens »

Etoile, en partenariat avec l’institut de Sondage Keedn, a réalisé une étude exclusive auprès de 634 fonctionnaires (dont 39% appartenant à la territoriale, 36% à l’état et 19% à l’hospitaler), sur leur attachement à leur travail, leur conditions d’exercice et le sens qu’ils en retirent. Découvrez les résultats en image !

En interrogeant directement les fonctionnaires, l’étude Weka /Communauté Etoile éclaire et met en perspective ce qu’on appelle, de
façon souvent trop générique, le « malaise de la fonction publique ».
En effet, l’étude fait apparaitre des fondamentaux qui restent extrêmement positifs : dans leur grande majorité, les agents de la fonction
publique aiment leur métier et se sentent utiles au quotidien. Encore qu’on observe un net décrochage dans la fonction publique
hospitalière : 69% disent aimer leur métier vs 81% pour les fonctionnaires nationaux et 83% pour les fonctionnaires territoriaux.
Il faut noter que ce rapport s’inverse lorsqu’on les interroge sur leur sentiment d’utilité : 85% des agents hospitaliers disent avoir le
sentiment d’être utiles au quotidien, contre 77% territoriaux et 73% nationaux.
Quoiqu’il en soit, ces chiffres restent plutôt positifs et disent beaucoup de l’état d’esprit constructif des fonctionnaires.
Mais c’est lorsqu’on les interroge sur leur quotidien que le tableau s’assombrit un peu…
– les conditions de travail sont jugées mauvaises ou tout juste passables,
– tous regrettent le manque de moyens (en particulier dans la fonction publique hospitalière) et la charge de travail (fonction publique
territoriale),
– quand à la hiérarchie, elle concentre de nombreuses critiques pour son manque d’écoute et d’empathie, notamment dans la fonction
publique nationale à l’organisation trop verticale.
Cette dualité entre une mission appréciée et un quotidien difficile explique sans doute l’adhésion assez nette à l’idée de moderniser la
fonction publique dans le cadre du plan Cap 22 : 22% se disent « tout à fait d’accord » et 45% « plutôt d’accord » avec cette
modernisation. Et le phénomène s’accentue quand on l’analyse par tranche d’âge, puisque les plus jeunes (25-24 ans) sont 74% à
souhaiter cette modernisation (contre 66% de 35-55 ans par exemple).
Une modernisation qui passera aussi par une évolution des méthodes de travail. Les fonctionnaires y sont prêts : ils se disent en majorité
« plutôt à l’aise » avec les outils digitaux (avec un léger décrochage à partir de 55 ans) et militent pour limiter le temps passé en réunion.

Grace

Grace est l’unique album studio du chanteur et guitariste américain Jeff Buckley, sorti en août 1994 d’abord en Europe puis aux États-Unis sous le label Columbia.

Black album

L’album Metallica sort en 1991. Avec sa pochette presque entièrement noire, il est rapidement surnommé le Black Album tant par les fans que les membres du groupe. Cet album est à l’heure actuelle le plus grand succès commercial du groupe, avec plus de 30 millions d’exemplaires vendus à travers le monde3.

L’album marque une évolution importante dans le style du groupe. Les tempos sont plus lents, les morceaux sont plus courts et leurs structures beaucoup plus simples, aspirant ainsi à du simple rock. C’est principalement un album de heavy metal, et il n’y a plus beaucoup de traces de thrash metal. Par son côté plus « commercial » que les précédents albums du groupe, qui a déplu à un certain nombre de fans de la première heure, il lui a permis d’atteindre un plus large public. C’est aussi le premier album du groupe produit par Bob Rock qui restera leur producteur jusqu’à St. Anger. Comme dans …And Justice for All, Jason Newsted ne collabore qu’à un seul titre dans l’écriture des chansons.

Les titres les plus connus sont Enter Sandman, Sad but True, The Unforgiven, Nothing Else Matters, Wherever I May roam (tous sortis en single).

Malgré son côté plus accessible, l’album Metallica reste une production respectée dans le milieu du heavy metal. On note par ailleurs l’importance croissante que prennent les ballades ou power ballads pour Metallica (Nothing Else Matters, The Unforgiven, deux ballades très connues).

Jason Newsted utilisera pour la première fois dans un album de Metallica une basse 12 cordes, dans Wherever I May Roam. Enter Sandman fut notamment composé par Lars Ulrich à partir d’un riff que Kirk Hammett avait composé à 3h15 du matin.

James Hetfield nous informe dans le documentaire « Classic Albums: Metallica » (2002), que la plupart des chansons partaient d’un simple riff, qui fut exploité et poussé jusqu’au maximum.

Certaines personnes diront que : « cet album est heavy sans être thrash, donc mesuré mais puissant » (David Fricke, éditeur du magazine Rolling Stone). D’autres diront qu’avec cet album Metallica devient « Le Led Zeppelin d’une génération » (Cliff Burnstein : Co-Manageur). Les paroles de cet album sont souvent plus personnelles que celles des albums précédents. The God That Failed en est l’exemple le plus concret, James Hetfield y parlant de la secte religieuse dans laquelle ses parents étaient embrigadés.

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit.

Le Dernier Souper

Donec dictum placerat elit ut sagittis. Aliquam viverra pellentesque nunc, in auctor justo vestibulum id. In hac habitasse platea dictumst. Etiam sollicitudin tempor orci, vel tincidunt metus placerat id. Quisque tincidunt velit velit, sit amet interdum ex tristique cursus. Morbi sed pretium tellus. Sed convallis varius vestibulum. Quisque dui tortor, lacinia ac consectetur vel, dignissim non risus. Donec neque orci, tincidunt vel lorem ac, vulputate luctus urna. In ac consectetur enim, vitae congue enim. Donec eu lacus ac eros lacinia pharetra. In ullamcorper fringilla feugiat.

Phasellus scelerisque velit magna, sollicitudin efficitur metus varius et. Praesent tempus convallis odio, eu auctor nulla maximus volutpat. Ut aliquet ultrices velit a congue. Vivamus ornare tellus quam, vitae congue tellus bibendum vitae. Phasellus non felis finibus lacus feugiat bibendum. Integer hendrerit nec purus sit amet eleifend. Donec euismod, risus quis molestie fringilla, nisl elit consectetur ipsum, scelerisque facilisis massa enim eu lacus.

Vestibulum malesuada enim mi, in volutpat risus rutrum quis. Ut bibendum iaculis est at congue. Nulla facilisi. Quisque finibus quis nulla eget tempus. Quisque dapibus ex auctor orci vestibulum, cursus gravida ex lobortis. Integer id tempor nulla. Cras turpis diam, vehicula in placerat et, suscipit nec purus. Vestibulum ante ipsum primis in faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae; Mauris quam urna, semper quis enim non, egestas congue magna. Quisque id accumsan lectus. Quisque vel odio quis tellus ultricies rutrum. Nullam eu faucibus dolor. Suspendisse potenti.

Nunc a convallis ante. Sed commodo, neque sed malesuada pharetra, nibh justo auctor arcu, sit amet fermentum lacus ex sed dui. Mauris a erat vitae tortor placerat dignissim in non sem. Praesent cursus nulla eget quam luctus varius. Phasellus quis vulputate odio. Nam metus ipsum, laoreet non imperdiet nec, scelerisque eget arcu. Nunc sagittis elit a erat finibus efficitur. Curabitur dolor est, egestas vel augue id, dapibus tincidunt justo. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Sed elit mauris, tristique sit amet auctor sit amet, laoreet nec est. Praesent vitae libero ac lacus vestibulum pellentesque. Vivamus convallis sollicitudin diam sed vehicula.

Mauris dapibus orci nec sapien pretium, quis fringilla turpis fringilla. Ut quis fermentum sem. Curabitur non augue id leo tristique commodo. Vivamus hendrerit est nec faucibus dignissim. Proin tincidunt ac erat eget efficitur. Nulla ultricies erat in arcu efficitur varius. In luctus felis ante, et vulputate velit consequat sit amet. Suspendisse cursus ac neque vitae euismod. In hac habitasse platea dictumst. Nam sed augue nec magna convallis accumsan.

Le Page Speed devient un critère de classement sur Google mobile

Google-speed-metrics

La vitesse de chargement des pages, ou plutôt le Page Speed Score comme l’évoque souvent Google, est un facteur qui était uniquement utilisé pour le classement des sites sur ordinateur depuis le 9 avril 2010. En toute logique, ce critère vient enfin s’imposer dans l’algorithme de ranking de Google mobile, et vient accompagner les critères d’ergonomie mobile (ou de « compatibilité mobile » comme Google l’appelait à l’origine). Tout cela a été confirmé sur le blog officiel pour webmaster de Google le 17 janvier 2018, en prévision de l’index Mobile First qui devrait être finalisé en 2018. Le mobile comptait déjà, mais maintenant, on risque de ressentir quelques mouvements (selon l’importance du critère).

Dès juillet 2018, Google va intégrer la vitesse des pages mobiles dans son algorithme de classement (une note attribuée aux performances des pages en réalité). Rien ne dit pourquoi Google attend juillet pour intégrer ce facteur, mais cela est peut-être un indice pour indiquer une annonce officielle autour de l’index Mobile First. Nous verrons bien sur le moment, personne n’est madame Irma… 🙂

Google explique que le critère ne touchera pas l’ensemble des pages web dans un premier temps, ni même l’ensemble des requêtes (Google parle d’un petit pourcentage des requêtes, mais c’est assez flou). La « Page speed update » (de son vrai nom) va affecter essentiellement les pages les plus lentes. Google précise d’ailleurs que l’intention de recherche et la pertinence des pages restent plus importantes, donc si une page est lente mais qu’elle propose vraiment un contenu de qualité, elle pourra tout de même ressortir dans les classements. Encore heureux, car le Page Speed Score n’est pas LE critère mais un critère, il a surtout une importance en termes d’expérience utilisateur (UX) et de confort de navigation comme nous le verrons plus bas…

En réalité, que donnent les benchmarks de vitesse ?

Comme souvent, Google s’appuie sur des études pour justifier l’intérêt de ses critères de classement. Par exemple, une étude publiée sur ThinkWithGoogle de février 2017 tentait de démontrer que le temps de chargement moyen sur mobile est de 22 secondes (temps total, pas seulement le DOM), tous types de sites confondus. Pire, 53% des interrogés reconnaissent quitter facilement une page qui met plus de 3 secondes à se charger sur mobile. S’il est difficile voire quasi impossible de charger une page complète en trois secondes (Google parle ici de DCL pour Dom Content Loaded), il est largement possible de charger la structure complète du site pour faire débuter la navigation et la lecture (Google parle dans ce cas de FMP pour First Meaningful Paint). Je conseille aux moins avertis d’entre vous d’aller lire mon article sur PageSpeed Insights et les données prises en compte par Google dans son système de notation. N’oublions pas que la vitesse moyenne de connexion mobile dans le monde est de la 3G standard, mais trop de pages pèsent plus de 1 Mo et ralentissent donc le téléchargement des ressources (Google compte 7 secondes de chargement pour 1,49 Mo en 3G rapide, c’est dire…).

Google possède une très bonne documentation au sujet de la vitesse de chargement des pages et pour les développeurs aguerris. Vous pouvez également utiliser les outils PageSpeed Insights ou même Lighthouse dans les outils de développement de Google Chrome pour visualiser les défauts potentiels de vos pages web. Je reviens énormément sur ce point dans mon livre Techniques de référencement web : audit et suivi SEO publié en mars/avril 2018, je fournis de nombreuses méthodes pour booster les sites comme je les ai appliqué à mon propre site Internet-Formation. Tout n’est pas parfait, mais je peux vraiment vous affirmer que mon site a fait un bond positif en matière de vitesse de chargement, c’est assez impressionnant.