Motörhead

Motörhead est un groupe de heavy metal britannique, originaire de Londres, en Angleterre. Le groupe, formé en 1975 par le bassiste et chanteur Lemmy Kilmister et dissout en 2015 à la suite de la mort de ce dernier4, fait partie de la New wave of British heavy metal qui donne un nouveau souffle à la scène heavy metal au Royaume-Uni à la fin des années 1970 et au début des années 19805. Habituellement un power trio, Motörhead connaît un certain succès au début des années 1980 avec plusieurs singles qui atteignent l’UK Singles Chart. Les albums Overkill, Bomber, Ace of Spades et particulièrement No Sleep ’til Hammersmith, cimentent la réputation de Motörhead comme l’un des plus grands groupes de rock britannique6.

Alors que Motörhead est généralement classé dans le heavy metal et est reconnu comme l’une des principales influences du speed metal et du thrash metal7, Kilmister admet qu’il déteste ce terme, préférant décrire le son du groupe par rock ‘n’ roll. L’approche de Motörhead envers sa musique est restée la même depuis le début de la carrière du groupe, préférant jouer ce qu’ils aiment jouer sans se préoccuper du « qu’en-dira-t-on ». Les textes de Motörhead couvrent des sujets aussi larges que la guerre, le bien contre le mal, l’abus du pouvoir, le sexe, la consommation de drogue et la vie sur la route. Le logo distinctif du groupe est créé en 1977 par l’artiste Joe Petagno pour l’album Motörhead. Le groupe est classé 26e au classement des 100 plus grands groupes de heavy metal par VH18. En 40 ans de carrière, le groupe a vendu plus de 35 millions d’albums à travers le monde9.

Motörhead, avec les Ramones et The Jimi Hendrix Experience, est l’un des groupes de rock de renommée mondiale dont les membres sont tous décédés (ceux de la formation classique de 1976 à 1982, Lemmy Kilmister, Phil Taylor et Eddie Clarke)

Dernier Test

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Mötley Crüe

Mötley Crüe est un groupe de hard rock américain, originaire de Los Angeles. Le groupe est formé par le bassiste Nikki Sixx et le batteur Tommy Lee, qui sont ensuite rejoints par le guitariste Mick Mars et le chanteur Vince Neil. Les membres du groupe se sont souvent fait remarquer pour leur mode de vie extrême ; ils ont tous connu de nombreux démêlés judiciaires, ont souffert de longues addictions à l’alcool et aux drogues, ont eu d’innombrables aventures avec des femmes et sont lourdement tatoués.

Le groupe, dont la carrière connait son apogée dans les années 1980, est l’auteur de chansons notables comme Shout at the Devil, Looks that Kill, Home Sweet Home, Wild Side, Girls, Girls, Girls, Dr Feelgood, ou encore Kickstart My Heart. En 2012, Mötley Crüe recense plus de 100 millions d’albums vendus à travers le monde1, dont 40 millions aux États-Unis. En 2013, il est annoncé qu’un film adapté de leur autobiographie, intitulé The Dirt 2, sera programmé pour une sortie en 2014, ainsi qu’une dernière tournée d’adieu mondiale sur deux années, 2014 et 2015. Le groupe effectue ainsi son dernier concert le 31 décembre 2015 à Los Angeles, filmé pour un DVD paru le 4 novembre 20163,4. Le tournage de l’adaptation cinématographique de The Dirt débutera prochainement pour une sortie du film courant 2018 sur Netflix

Sylvia (Focus song)

The Rough Guide to Rock describes Akkerman’s guitar melody as « exuberant ».[5] The band’s Christmas 1972 appearance on the Old Grey Whistle Test, along with a number of UK gigs in late 1972,[3][6] has been crediting with exposing the band and helping the single reach number 4 in the UK Singles Chart.[7][1] The programme’s presenter, Bob Harris, is quoted as saying that the band’s appearance was so well received by the audience that the pressing plant for the single was overwhelmed and only produced copies of « Sylvia » for the following week to cater for the demand.[4]

Dave Thompson, writing for AllMusic, said that aside from the studio recording, the band’s best version of the song was the one included on the At the Rainbow live album.[4] He compared the relatively short length of the song to the band’s longer compositions, describing Akkerman’s playing as an « exercise in economics ».[4]

In the US, the song peaked at #89.

Karcius

Karcius est un groupe québécois qui exploite un mélange savant et éclectique de rythmes pop, rock, jazz, classique et africain. Il offre un groove unique et personnel issu de la fusion de ses influences. Le groupe existe depuis le printemps 2001 et compte en sa formation Simon L’Espérance à la guitare, Thomas Brodeur à la batterie, Mingan Sauriol aux claviers et Sylvain Auclair, qui a joint le groupe en 2009, à la basse et au chant.

Tous de formation solide, les membres de Karcius sont présents sur la scène locale et ailleurs dans le monde, particulièrement en Europe. À travers leurs divers projets, ces musiciens ont acquis beaucoup d’expérience et de maturité. Leur diversité musicale et professionnelle permet d’accomplir, au cœur même du groupe, un projet artistique propre. Karcius représente un espace de création sans limites pour ces musiciens explorateurs.

Article du mag

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La nuit je mens

S’il est un héritier du mouvement surréaliste c’est bien Alain Bashung. Qui peut prétendre au qualificatif de poète sans sourciller.

Il y a ce génie sous sa plume de conduire un texte selon le principe de deux lignes parallèles, de s’imposer une contrainte au départ, un lien non pensé sans doute, associé, entre deux plans, en maintenant la possibilité d’autres sentiers ouverts.

Ces plans vont servir de structure obligée au développement ultérieur de l’inspiration, et permettre le jeu des associations nouvelles, des analogies, l’auteur se jouant aussi bien du signifiant, du signifié que des sonorités. C’est un texte de chanson, qui plus est, indissociable de la musique qui l’habille.

Dans ce texte superbe, dense et riche malgré sa brièveté, c’est le double fil du souvenir de la résistance et d’une lettre d’amour à une femme perdue, qui est tiré. Mais chez Bashung c’est le signifiant qui est à l’honneur, toujours, d’abord, semble t-il, dans l’inspiration. Comme en une séance freudienne.

Le double fil n’est sans doute pas simplement un prétexte poétique. L’amour est tout aussi sérieux qu’un combat à mort. Les notions se télescopent, « j’ai fait l’amour, j’ai fait le mort ». Et si nous ne sommes plus des héros, il nous reste ce front à vivre. En temps de paix la condition humaine reste ce qu’elle est. Pour autant, le texte évoque aussi la légèreté du présent, cette fois-ci opposée à la résistance d’autrefois ( des kilomètres de vie en rose/station balnéaire/j’ai fait la saison/un jour au cirque).

La dualité entre la gravité et le léger est là tout de suite, par l’opposition entre le glorieux Vercors et le saut à l’élastique . Mais en même temps associer les deux termes est une correspondance, les deux activités de maquisard ou de sportif extrême dansant avec la mort. Sauter évoque inévitablement « faire sauter ».

Ce jeu incessant d’opposition-superposition, brillant, est typique de la poétique riche de Bashung. Ainsi l’époque ou « t’étais pas née » évoque à la fois la résistance mais aussi les anciennes vies de l’amoureux.

Il y a ce refrain si beau ou c’est l’homme se souvenant du passé amoureux qui s’assimile au résistant, lui rend hommage plutôt. L’un a menti pour survivre et lutter, l’autre se ment parce qu’il faut continuer à vivre malgré la perte de la femme à laquelle il dédie ces mots. Les deux cachent des mots codés dans leurs bottes. Le menteur c’est aussi l’artiste, qui fait « danser tant de malentendus ». La chanson évoque peut-être un échec amoureux lié à la condition d’artiste sur les routes. En tout cas il s’agit d’un artiste, obsessionnel, car même quand il rencontre une autre âme, il reste chanteur, qui « fait la saison dans une boite crânienne ».

L’audace du maniement du langage est telle que l’auteur parle d’écho, renvoyant à la montagne alors que la logique, par la conjonction de coordination, renverrait aux « questions ». L’association des signifiants est plus importante, dans cette écriture, que la logique. Ce qui rappelle le surréalisme en effet.

Ces plaines de nuit évoquent aussi bien les souvenirs des parcours à travers la France des porteurs de valise, de Moulin, ou de l’armée des ombres de Kessel, que la mélancolie de l’homme sans amour, le regard perdu dans l’obscurité sans fond, livré au seul écho, justement du souvenir.

Le texte abonde de doubles significations possibles. Les criques sont à la fois un lieu majeur de la résistance, là où l’on résiste, mais aussi un élément du paysage des amuseurs saltimbanques comme l’auteur, qui fait danser les gens l’été. Le verbe « subsiste » évoque inévitablement le registre de la résistance. Mais en même temps le souvenir qui ne passe pas. La malhonnêteté intellectuelle a un double visage, celui vertueux du résistant, qui assume de mentir, et celui de l’amoureux malhonnête qui jusqu’ici n’a pas avoué ce qu’il gardait sur le coeur.

La phrase « j’ai fait la cour à des murènes » peut aussi bien évoquer la perdition auprès de filles qui filent entre les doigts que le danger de l’activité clandestine. « Pour un peu je trempais » superpose en un court circuit linguistique l’allusion quasi érotique et la probabilité forte de tomber au combat.

Bashung semble nous dire, qu’il n’est qu’un homme de son époque, mais son imaginaire témoigne de sa pleine mémoire. Elle nourrit son être profond, jusqu’à s’imprimer dans la manière dont il exprime ses sentiments. On est ce qu’on est parce que les autres nous ont légué un inconscient collectif.

La richesse des évocations est à souligner, et participe des émotions fortes qu’on ressent à écouter Bashung qui percute les évocations et secoue ainsi nos psychés. Par exemple il glisse dans le texte une autre lame de signification autour de la Rome antique (et donc de la mémoire qui s’éloigne), à travers les amphores, le cirque, les aqueducs, ou Ponce Pilate (je m’en lave les mains). Mais quand il cite Pilate, juste après le terme « montagne » peut renvoyer notre inconscient au Sermon qui y fut professé.

Faut-il voir aussi, dans ces magnifiques phrases,  » j’ai dans les bottes des montagnes de questions/ou subsiste encore ton écho », une sorte d’aveu historique générationnel ? Nous avançons dans le noir mais nous sommes forts de l’exemple des héros d’hier dont reste trace. René Char disait lui, pendant la résistance : « notre héritage n’est précédé d’aucun testament ».

Face à l’émotion incompréhensible au premier coup d’oeil que Bashung nous procure (comment cela peut-il éveiller ceci en moi, alors que je ne comprends pas vraiment ce qui se dit), nous essayons de fouiller en nous l’écheveau de nos propres associations. Nous écoutons et réécoutons, jamais las des découvertes possibles et de notre liberté de tisser nos propres liens. Un partage sensible unique en son genre. Merci Monsieur Bashung.

test recette 3 janvier 2019

Le premier épisode a attiré 2,2 millions de téléspectateurs lors de sa première diffusion le 17 avril 2011 aux États-Unis155 et a totalisé 5,4 millions de téléspectateurs, rediffusions comprises (le dimanche et le lundi soir156). Le dernier épisode de la première saison, qui a été diffusé le 20 juin 2011, a rassemblé plus de 3 millions de téléspectateurs157. D’après HBO, la seconde saison du Trône de fer a obtenu une audience cumulée (incluant les revisionnages sur les sites à la demande de la chaîne) de 11,6 millions de spectateurs158. La troisième saison, après neuf épisodes diffusés, a obtenu une augmentation d’audience passant le chiffre cumulé à 13,6 millions de spectateurs, faisant de la saison la deuxième plus vue de toutes les séries HBO, après la cinquième saison de la série des Soprano avec 14,4 millions de spectateurs159. Avec la quatrième saison, la série devient la plus regardée de la chaine HBO puisque le nombre moyen de téléspectateurs pour cette saison a atteint 18,4 millions160.

Contrairement aux suppositions des journalistes américains au sujet du Trône de fer qui aurait une audience très majoritairement masculine, le centre de données Nielsen qui calcule aussi les audiences a indiqué en 2013 que la série est moins divisée par genre que beaucoup d’autres programmes comparables, avec 42 % d’audience féminine aux États-Unis161.